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Arnaud Dos Santos

Arnaud Dos Santos

Né le :19.09.1945 à Beautor (Aisne)
Taille :1m70
Poids :68kg
Poste :Milieu

Clubs :

Carrière joueur :
1964 – 1966 : Boulogne
1966 – 1970 : FC Rouen
1970 – 1972 : Monaco
1972 – 1974 : Girondins de Bordeaux
1974 – 1977 : Troyes
1977 – 1981 : Lille OSC
Carrière d”entraîneur :
1982 – 1984 : Lille OSC
1984 – 1986 : AS Beauvais
1986 – 1990 : FC Rouen
1990 – 1992 : RC Lens
1993 – 1994 : FC Istres
1994 – 1998 : Amiens SC
1999 – 2002 : FC Istres
2012 – 2013 : Royal Mouscron Peruwelz

Palmarès :

  • 1978 : Champion de France de D2 (Lille OSC)

Biographie :

Arnaud Dos Santos était un milieu défensif teigneux, dur sur l’homme, qui ne lâchait rien pendant une rencont
re, qui pouvait inscrire quelques buts pendant une saison ( pas mal pour un joueur défensif ) et surtout dès qu’il récupérait le ballon il pouvait lancer proprement ses attaquants pour de belles offensives. Avec de telles qualités il aura fait une belle petite carrière et réussira à s’imposer dans des bons clubs de D1 tels que Rouen, Monaco, Bordeaux, Troyes et Lille.
Arnaud Dos Santos est né en 1945 à Beautor dans l’Aisne. Il débutera sa carrière professionnelle dans le club de Boulogne -sur -Mer pour le championnat de D2 64/65 lorsque le coach André Cheuva fera appel à lui pour deux rencontres sûrement pour remplacer Robert Dewilder à cause d’une suspension ou blessure. Ses deux participations à cet exercice lui feront participer à la bonne saison des boulonnais qui termineront à la cinquième place du classement ne loupant la troisième et dernière position pour accéder à l’élite de quatre petits points. La saison 65/66 verra Dos Santos devenir un titulaire à part entière de Boulogne et il formera un sacré duo de récupérateurs avec Robert Dewilder et en plus de 34 matchs joués il trouvera le culot d’inscrire dix buts pour son premier exercice complet ( le meilleur total de sa carrière ). Pas mal pour un récupérateur. Ses formidables statistiques lui permettront d’emmener le club nordiste avec l’aide de ses coéquipiers à une moyenne neuvième place loupant de huit points la seconde place synonyme de D1.
Repéré grâce à son époustouflante saison, plusieurs clubs le solliciteront dont quelques uns de la D1 et ce sera un de ces derniers ( plus précisément Rouen ) qu’Arnaud choisira pour poursuivre sa carrière. Le coach rouennais, René Vernier, n’utilisera l’ancien boulonnais qu’ à vingt reprises mais ce dernier arrivera à prouver qu’il avait le niveau pour évoluer parmi l’élite. Par contre au niveau sportif rien n’ira pour l’exercice 66/67 car les résultats ne suivront pas du tout et vers la fin du championnat Rouen était bon dernier et alors que tout le monde voyait les Diables Rouges en D2 ces derniers se réveilleront à partir de Mars 1967 et arriveront à se maintenir en finissant in-extrémis à la seizième place avec un petit point d’avance sur les 17ème et 18ème qui devaient disputer le barrage de relégation. En parallèle des mauvais résultats le club normand accusait un déficit de 850 000 francs et comme la mairie refusait d’aider Rouen ce sera le groupement des clubs professionnels qui interviendra pour aider financièrement les rouennais afin de les sauver du dépôt de bilan. Ensuite grâce au maintien parmi l’élite arraché par les joueurs et vu la joie qu’il y avait en ville grâce à cet exploit la mairie interviendra et sauvera le club d’une relégation administrative. La saison 67/68 verra Dos Santos faire une excellente année en disputant 36 rencontres pour neuf buts mais par contre avec ses coéquipiers il se battra jusqu’au bout pour éviter la descente à l’échelon inférieur et finalement y réussira en positionnant Rouen à la quinzième place avec de nouveau un seul point d’avance sur les deux clubs qui devaient jouer le barrage de relégation. Pour la saison 68/69, Arnaud et les Daniel Druda, Michel Sénéchal, Réginald Dortomb, André Betta, Dominique Rustichelli et tous les autres réaliseront un exercice de toute beauté en terminant à la surprise générale à la quatrième place se qualifiant ainsi pour la prochaine coupe des Villes de Foires. Dos Santos participera pour la première fois à la coupe d’Europe pendant la saison 69/70 et avec les Patrice Rio, André Merelle et Cie il atteindra les huitièmes de finale ( après avoir éliminé aux tours précédents Twente et Royal Charleroi ) où il devait affronter les anglais d’Arsenal qui auront du mal à se débarrasser des normands ( un à zéro sur les deux matchs ). En championnat les Diables Rouges feront un honorable parcours en terminant douzième mais comme le club avait un déficit de 750 000 francs qui paraissait cette fois-ci impossible à combler, il sera relégué administrativement en seconde division.
Dos Santos évoluera la saison 70/71 en D2 mais pas avec Rouen car entre-temps il se sera engagé avec Monaco. L’ancien rouennais retrouvera son ancien coéquipier de Boulogne, Robert Dewilder, et de ce fait les deux compères reformeront leur super duo de récupérateurs. Et ainsi Monaco fera un excellent championnat où il terminera premier de son groupe avec sept points d’avance sur Avignon et de ce fait Arnaud et tous ses coéquipiers évolueront la prochaine saison en D1. Le bémol de cette année là sera que les monégasques n’arriveront pas à s’adjuger le titre de champion de D2 qu’ils se disputeront contre les deux autres premiers ( Lille et PSG ) et finalement ce sera les parisiens qui seront couronnés. Pour son retour parmi l’élite Monaco aura en plus d’Arnaud un bel effectif avec des joueurs comme André Guesdon, Pierre Mosca, Jean Petit, Louis Floch et Christian Dalger mais les résultats ne seront pas là et le club de la Principauté ne réussira pas à se maintenir car il terminera en queue de peloton plus exactement à la 19ème place synonyme de retour en seconde division.
Dos Santos ne suivra pas Monaco à l’échelon inférieur car entre-temps il se sera engagé avec les Girondins de Bordeaux où il arrivera en même temps que Jean-Pierre Tokoto, Roland Mitoraj et du nouveau coach Pierre Phelipon. Et là avec les Jean Gallice, Alain Giresse et tous les autres girondins, l’ancien monégasque fera un exercice 72/73 complet sans louper un seul match et emmènera Bordeaux à la quatorzième place assurant ainsi le maintien avec un petit pécule de sept points d’avance sur Valenciennes le premier relégable. La saison 73/74 verra Arnaud être associé à Tokoto pour former le duo de demi-défensifs qui s’en tirera pas trop mal mais par contre les résultats seront autres car les girondins lutteront jusqu’au bout du championnat pour éviter la relégation et se sauveront de justesse en terminant une nouvelle fois à la quatorzième place mais cette fois-ci avec seulement un petit point qui les séparait du premier relégable en l’occurrence Nancy.
Après deux années en Gironde Dos Santos reprendra son baluchon pour aller le poser dans l’Aube plus précisément du côté de Troyes. Et là il rejoindra un effectif avec quelques joueurs de qualité tels que Guy Formici, Robert Jacques, René Le Lamer, Daniel Zorzetto et Patrick Parizon mais l’exercice 74/75 ne sera pas trop facile pour les troyens car ils se battront toute l’année pour assurer le maintien et ils y arriveront en finissant à la seizième place à quatre points d’Angers qui était le premier club relégué. La saison 75/76 sera encore plus chaude car Arnaud et ses coéquipiers sauveront leur place en D1 grâce aux deux points qu’ils avaient d’avance sur Monaco, le 18ème. L’ancien bordelais fera un exercice 76/77 sans manquer une seule rencontre mais même avec des petits jeunes comme Philippe Mahut, Daniel Deledicq et Carlos Lopez, il connaîtra encore une saison très délicate et arrivera encore une fois à maintenir son club dans l’élite en terminant à la quinzième place avec tout de même six points qui l’éloignait du premier relégable, Angers.
Peut-être fatigué de jouer le maintien, Arnaud préférera quitter Troyes et la D1 pour aller évoluer à l’échelon inférieur car il acceptera la proposition que lui feront les dirigeants de Lille, qui venait d’être relégué, car ces derniers voulaient construire une équipe compétitive pour essayer de jouer la montée aussi sec. L’ancien troyen arrivera en même temps que le nouvel entraîneur José Arribas et des Zarko Olarevic, Pierre Pleimelding et de Pierre Dréossi ( issu de la réserve lilloise ). Et là tous ces nouveaux aidés d’Alain Tirloit, Serge Besnard, Alain Grumelon, Didier Simon et Patrick Zagar feront une excellente saison 77/78 où ils arriveront à tenir le pari que leur avait lancé la direction lilloise c’est-à-dire de retrouver l’élite un an après l’avoir quittée. Et après avoir accéder à la D1 grâce à la première place de leur groupe, Dos Santos et ses partenaires s’adjugeront le titre de champion de France de D2 en battant Angers l’autre premier six à cinq sur les deux matchs. Renforcés par Roberto Cabral, René Marsiglia et Philippe Bergeroo, Arnaud et le promu lillois feront une ahurissante saison 78/79 en terminant à la surprise générale à la sixième place du classement loupant de quatre points la quatrième et dernière place qualificative pour la coupe UEFA. Pour la saison 79/80, Arnaud sera associé au milieu de terrain avec le nouveau venu Bruno Metsu et les hommes formeront un bon duo complémentaire de récupérateurs et les Dogues ne pourront rééditer le même championnat que le précédent car pour cet exercice ils feront qu’un moyen parcours qui les verra terminer qu’à la treizième place assurant tout de même son maintien avec six points d’avance sur Lyon qui devait jouer le barrage de relégation. Même renforcés par Jean-François Domergue et Merry Krimau, Dos Santos et Lille vivront une pénible saison 80/81 car pendant tout l’exercice ils vivront dans l’angoisse de la zone de relégation et finalement ils se maintiendront en finissant à la 17ème place ex-aequo avec Laval, et Tours mais ce sera les tourangeaux qui descendront en D2 car ils avaient la plus mauvaise différence de buts ( Lille a été sauvé aussi grâce au petit but supplémentaire d’inscrit par rapport à Tours ). Là les Dogues ont eu vraiment chaud. Et ce sera en laissant Lille en D1 que Dos Santos décidera à presque 36 ans ( toujours titulaire indiscutable à cet âge là ) de mettre un terme à une carrière bien remplie mais avec le regret de n’avoir pas trop connu le haut du classement car Arnaud se sera souvent battu pour le maintien.
RECONVERSION :
Aussitôt sa retraite prise les dirigeants lillois intégreront Arnaud dans le staff lillois et le nommeront entraîneur-chef pendant l’été 1982 après le départ de José Arribas. Avec un effectif potable ( Philippe Bergeroo, Noureddine Kourichi, Didier Christophe, Slavo Muslin, Verel Engin, Pascal Françoise et Albert Gemmrich ) Dos Santos pour sa première expérience sur un banc de touche s’en tirera pas trop mal en faisant un championnat 82/83 moyen mais surtout en assurant le maintien en terminant à la treizième place avec trois points d’avance sur Tours, le club devant disputer le barrage de relégation. Et en parallèle de la compétition hexagonale, Dos Santos emmènera ses joueurs jusqu’en demi-finales de la coupe de France qu’ils perdront contre le FC Nantes de José Touré et Fabrice Picot. Avec le recrutement de joueurs comme Dusan Savic, Bernard Bureau, Boro Primorac et Roger Ricort, Arnaud et son équipe feront un honorable exercice 83/84 et se positionneront en milieu de tableau ( neuvième ).
Pour la saison 84/85, Arnaud sera engagé par Beauvais, qui évoluait en D3, avec pour mission de faire monter le club de l’Oise en seconde division. Et là aves des joueurs comme Bruno Metsu ( avec qui il a joué à Lille ), Patrick Tapin, Bruno Roux et tous les autres, l’ancien joueur de Troyes emmènera Beauvais jusqu’à la première place du groupe Nord avec la troisième meilleure attaque et la meilleure défense et de ce fait le club de l’Oise pourra évoluer en D2 pour la prochaine saison. Pour son retour en D2, Beauvais et son coach recruteront Daniel Zorzetto, Marcel Campagnac et Alain Tirloit ( tous ont un moment donné évolué avec Arnaud ) et tout ce monde là arrivera à se maintenir lors de l’exercice 85/86 en terminant onzième avec seulement un minuscule point d’avance sur le seizième, Lorient.
Rouen, qui venait d’être relégué en D3, fera appel à Arnaud comme coach dont la mission sera de faire remonter les Diables Rouges aussi sec en D2 et surtout en se servant des petits jeunes du centre de formation encadrés par quelques anciens tels que Denis Jouanne, Daniel Zorzetto, Patrice Heaulmé et Gilles Rolland. Et la mayonnaise prendra bien entre les vieux briscards et les jeunots et de ce fait les rouennais termineront second du groupe Nord du championnat 86/87 derrière la réserve du PSG mais comme les réserves ne pouvaient accéder à la D2 ce sera finalement Rouen qui montera à sa place et de ce fait retrouvera ce niveau seulement un an après l’avoir quitté. Pour son retour au second étage de l’élite française Rouen et son coach recruteront du lourd pour assurer assez vite le maintien et de ce fait Jean-Marc Adjovi-Boco, Karel Jarolim, Serge Amouret, Patrick Martet ( qui finira meilleur buteur de D2 avec 26 buts ) et Michel Titeca arriveront en Normandie. Et là avec ces nouvelles recrues, tout le groupe de Dos Santos fera une énorme saison 87/88 où il terminera à la grande surprise générale à la quatrième place de leur groupe loupant de cinq points la troisième position synonyme de pouvoir jouer le match de pré-barrages. Après avoir terminé le championnat 88/89 en onzième position, Dos Santos ira chercher Jean-Pierre Orts à Reims et ce dernier formera un duo d’attaque terriblement efficace avec Pascal Peltier qui à eux deux marqueront 36 buts ( Orts terminera comme le meilleur buteur de son groupe avec 21 buts ). Et emmenée par cette attaque de feu l’équipe rouennaise fera une excellente année 89/90 où les Diables Rouges arracheront la troisième place de leur groupe ( grâce à leur meilleure différence de buts car ils étaient à égalité avec Laval ) qualificative pour disputer le match de pré-barrages qu’ils disputeront contre le RC Strasbourg mais l’aventure pour l’accession en D1 s’arrêtera là car Dos Santos et ses hommes n’arriveront pas à se défaire des alsaciens qui sortiront vainqueurs de ce duel par deux buts à zéro.
Remarqué par ses belles années rouennaises, Arnaud se fera engager par les dirigeants du RC Lens avec pour premier objectif la remontée parmi l’élite. Et là avec un effectif de qualité ( Francis Gillot, Jean-Guy Wallemme, Eric Sikora, Cyrille Magnier, Robbie Slater, Pierre laigle, Mustapha El-Haddaoui, Roger Boli et touts les autres ) l’ancien coach de Rouen emmènera son équipe jusqu’à la seconde place de son groupe à cinq points du premier, Le Havre. Cette position permettra aux Sangs et Ors de disputer les barrages où ils se débarrasseront de Valenciennes et Strasbourg mais ne pourront rien faire contre le Toulouse FC qui gagnera quatre buts à un sur les deux matchs. Mais néanmoins Lens retrouvera tout de même l’élite grâce à la rétrogradation administrative des Girondins de Bordeaux. Pour assurer le maintien assez rapidement Arnaud obtiendra de la direction lensoise le recrutement de joueurs du calibre des Jules Bocandé, Bernard Lama, Jean-Marc Adjovi-Boco et Hervé Arsène et avec ces recrues les Sangs et Ors feront un honorable championnat 91/92 où ils termineront à la huitième place loupant de cinq points une qualification européenne. Pas mal du tout pour un promu. La saison 92/93 commencera pas trop bien pour Lens et aura du mal à remonter jusqu’en Décembre 1992 et ce sera pour cette raison que les dirigeants nordistes prendront la décision de limoger Arnaud pour mettre à sa place le responsable du centre de formation, Patrice Bergues, qui arrivera à maintenir le club en le positionnant à la neuvième place grâce à une meilleure seconde moitié de championnat.
Après treize matchs du championnat de D2 93/94, Arnaud jouera les pompiers de service lorsque les dirigeants d’Istres ( en mal de résultats ) viendront lui proposer de remplacer Alain Laurier pour essayer de faire remonter la pente au club provençal mais l’ancien coach de Lens ne réussira pas sa mission car Istres finira bon dernier du classement avec seulement 26 points dans son escarcelle et sera logiquement condamné à jouer en D3 la saison suivante.
Malgré la relégation d’Istres, Arnaud recevra quelques propositions et il acceptera celle d’Amiens et de ce fait restera dans le championnat de D2. Et là avec un bon groupe composé de René Marsiglia, Pierre Deblock et Stéphane Adam entre autres, Arnaud et l ‘équipe picarde feront un honnête parcours dans le championnat 94/95 en terminant en neuvième position mais quand même loin des premières places qualificatives pour l’accession dans l’élite. Les trois saison suivantes ( 95/96, 96/97 et 97/98 ) verront Dos Santos et l’équipe de la Somme faire de bons championnats en terminant à chaque fois en milieu de tableau assurant ainsi le maintien ( treizième en 95/96, quinzième en 96/97 et douzième en 97/98 ). Par contre Arnaud connaîtra un début d’exercice 98/99 très pénible à cause de mauvais résultats et de ce fait les dirigeants picards le licencieront en Novembre 1998 pour le remplacer par René Marsiglia.
Après avoir passé le reste de la saison 98/99 au repos, Arnaud trouvera refuge dans le championnat de National et plus précisément dans son ancien club, le FC Istres, pour l’exercice 99/00 où il ne pourra jouer la montée en D2 à cause d’une moyenne dixième place avec quand même neuf points de retard sur la troisième et dernière position synonyme d’accession à l’étage supérieur. Par contre il réussira à accéder à la seconde division la saison suivante ( 00/01 ) en terminant de justesse à la troisième place grâce au petit point d’avance que le club provençal avait sur Clermont Foot. Par contre Arnaud ne finira pas l’exercice 01/02 car comme les résultats ne suivaient pas et que Istres pataugeait dans le fin fonds du classement de D2 les dirigeants istriens préféreront le limoger pour mettre quelqu’un d’autre en place afin de faire un électrochoc à l’équipe et son successeur réussira à maintenir le club provençal en le positionnant à la 17ème place avec tout de même neuf points d’avance sur le 19ème, Nîmes.
De 2002 à 2003, Dos Santos restera une année au chômage.
En fin de saison 03/04 il reprendra du service sur le banc de touche de Beauvais lorsque les dirigeants picards licencieront Baptiste Gentili pour mauvais résultats mais n’arrivera pas à maintenir le club de l’Oise en National car les beauvaisiens termineront bons derniers du classement et de ce fait ils seront relégués en CFA. Pour la saison 04/05 Arnaud laissera la place de coach à Bruno Roux pour devenir le manager général de Beauvais.
De 2005 à 2008 il sera le recruteur d’Amiens.
Pendant la saison 08/09 il sera chargé du recrutement du Havre.
Il occupera la même fonction à Lille de 2009 à 2012.

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