Fiche
| Né le : | 07.03.1957 à Saint-Quentin (Aisne) |
| Taille : | 1m84 |
| Poids : | 80kg |
| Poste : | Défenseur/Milieu |
Clubs :
19XX – 1977 : Olympique Saint-Quentin (3e division nationale)
1977 – 1984 : US Valenciennes-Anzin (1re et 2e division)
1984 Р1986 : Stade Quimp̩rois(2e division)
1986 – 1988 : SM Caen (2e division)
1977 – 1984 : US Valenciennes-Anzin (1re et 2e division)
1984 Р1986 : Stade Quimp̩rois(2e division)
1986 – 1988 : SM Caen (2e division)
Palmarès :
- néant
Biographie :
Christian Pesin originaire de Clastres est un ancien footballeur français né le 7 mars 1957 à Saint-Quentin (Aisne). Il est le frère de Paul Pesin qui fut un bon joueur de D4 à l'OSQ.
Ce joueur a participé à une bonne centaine de matchs en 1re division et environ 130 en 2e division. Il a été International militaire et universitaire.
En 79/80 Valenciennes qui évoluait en première division avec les Patrick Bas, Dominique Chevalier, Francis Gillot, Noureddine Kourichi, Benoît Tihy, Jan Wrazy, Attila Ladinszky, Nambatingue Toko et Robert Jacques réaliseront une étonnante saison au point de finir à une belle huitième place mais éloigné de quatorze points pour une qualification européenne. Christian conciliait les études et le foot, il raconte une anecdote qui aurait pu être un arrêt dans sa carrière : « Destrumelle avait envoyé quelqu'un me chercher dans l'amphithéâtre. Finalement, l'équipe était partie sans moi et je n'ai pas passé mon examen. C'est Zaremba qui, je crois, a dû jouer. Consolation, la saison d'après, je marque deux buts au Parc des Princes. Mais on perd 3-2 »
Pour la saison 80/81 V.A recrutera Gérard Bernardet, Jean-Pierre Orts, Nebojsa Zlataric, Michel Kaham et Bruno Zaremba et avec ces renforts Rabier et ses compères feront un honorable parcours en championnat où ils ne feront pas aussi bien que l'année précédente mais finiront tout de même à une moyenne onzième position avec seulement cinq points d'avance sur le 18ème qui devait jouer le barrage de relégation. Christian était un titulaire indiscutable et formait la paire avec Dominique Chevalier sur les côtés.
Pendant l'été 1981 Valenciennes s'affaiblira énormément en perdant de nombreux cadres tels que Dominique Vésir, Michel Maillard, Noureddine Kourichi, Dominique Chevalier, Bruno Zaremba et Gérard Bernardet entre autres et ces départs ne seront pas du tout remplacés qualitativement. Et ainsi la saison 81/82 sera très difficile car les joueurs se battront pendant toute l'année pour éviter la zone rouge du classement et arriveront à se donner une chance supplémentaire à garder leur place en D1 en réussissant à arracher la 18ème place synonyme de disputer un barrage de relégation. Cette rencontre de la survie se déroulera contre le vainqueur des barrages de D2, le FC Mulhouse, et là les valenciennois rateront complètement leur coup puisqu'ils s'inclineront 6-3 score cumulé ( après avoir perdu 5-2 à l'aller les nordistes ne feront pas mieux qu'un 1-1 au retour ce qui les enverra à l'étage inférieur ). Il faut notifier tout de même que V.A retrouvera un peu le sourire en coupe de France où ses joueurs atteindront les quarts de finale qu'ils perdront 3-1 score cumulé contre le tenant du titre, le SC Bastia ( après avoir gagné l'aller 1-0 les nordistes chuteront au retour en s'inclinant 3-0 ).
En 1982, Valenciennes vient d'être relégué de D1 qui termina à la sixième place du classement des meilleures défenses du groupe A avec 39 buts d'encaissés ex-æquo avec Le Havre, Abbeville, Nœux-les-Mines et Libourne. Collectivement Pascal Rousseau et les Benoît Tihy, Philippe Périlleux, Thierry Laurey, Jean-Marc Schaer, Cyriaque Didaux et Wlodzimierz Lubanski pour ne citer qu'eux réaliseront un exercice pratiquement parfait puisqu'ils seront à deux doigts d'arracher la place qualificative pour disputer les barrages d'accession à la D1 mais ils leur manqueront deux petits points ce qui les feront finir qu'au troisième rang de leur groupe.
L'année 83/84, une ancienne gloire du club, un certain Daniel Leclercq vient finir sa carrière à VA. Mais malgré les Mustapha Merry et les Philippe Périlleux, Thierry Laurey, Jean-Marc Schaer et Dominique Corroyer, ils n'arriveront à faire accéder l'élite à leur club car ils ne termineront qu'à la cinquième position du championnat 83/84 à six points de la troisième et dernière place synonyme de pouvoir jouer le match de pré-barrages. « A Valenciennes, avec Philippe Périlleux (un autre Saint-Quentinois), Daniel Leclercq et moi-même, nous faisions tous près de 90 kg. On l'a labouré, le terrain. C'était un peu une bataille de tranchées mais on en a récupéré, des ballons »
En 84/85, Il signe à Quimper afin d'évoluer en D2 mais ils ne pourront se mêler à la montée en D1 jusqu'au bout et de ce fait ils ne se contenteront que d'une huitième position dans le groupe B à quinze points de la troisième place synonyme de jouer les barrages d'accession en 85/86. ll arrivera en même temps que Christophe Sagna, Thierry Caby et Robby Langers.
Pour l'année 86/87 la direction caennaise fera un énorme effort dans son recrutement en engageant des joueurs expérimentés tels que Philippe Prieur, Slavoljub Muslin, Christian Pesin et Eric Pécout. Et ainsi grâce à l'efficacité du duo Prieur-Pécout et son invincibilité à domicile le SMC réalisera un exercice de haute qualité luttant pour la première place du groupe A avec Niort mais finalement il finira que second à sept points des Chamois. Et cette position finale vaudra à aux normands de se qualifier pour les barrages d'accession mais ils s'inclineront dès les pré-barrages face à l'AS Cannes sur le score de 2-1.
Avec les recrutements de Slavoljub Nikolic, Daniel Léopoldès, Ratko Dostanic et Hervé Florès le club du Calvados luttera toute la saison 87/88 avec Strasbourg pour la première place du groupe B mais échouera finalement à cause d'une plus mauvaise différence de buts ( +32 contre +34). Alors les caennais disputeront de nouveau les barrages d'accession mais cette fois-ci ils iront jusqu'au bout réussissant ainsi à accéder à l'élite française pour la première fois de l'histoire de Caen. Alors pour valider cet exploit les joueurs du SMC se débarrasseront successivement d'Alès (aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations), Lyon ( 3-2 score cumulé ( défaite 2-1 et victoire 2-0)) et du 18ème de D1,Niort ( 4-1 score cumulé ( 1-1 et victoire 3-0)). Christian ne sera pas de l'aventure en D1 car il n'a pas d'atomes crochus avec son entraîneur.et il a été écarté du groupe de D2 depuis le début de la saison, en compensation on lui a offert le brassard de capitaine de l'équipe de 3éme division. !!!
Entre la fac et les cours avec le Conservatoire national des arts et métiers durant sa période caennaise, Christian Pesin n'a jamais lâché ses études. Ce qui lui a permis, lorsqu'il s'est posé à Bressuire (Deux-Sèvres) comme entraîneur-joueur (en DH), de reprendre le fil et de finir son cursus à l'Université de Poitiers en 1988.
Professeur de gestion, il a été muté en Haute Savoien 1995, s'occupant ainsi d'Annecy-Le-Vieux, (Séniors 1, espoirs et 17 ans), d'Annecy (la réserve alors en D.H.R), et Meythet (3 saisons avec les Séniors 1).
En 2007 il s'occupe des moins de 18 ans du club de l'ES Cernex.
En 2012, il prend le poste d'entraîneur de la réserve de Rumilly (Promotion d'Excellence Haute-Savoie).
Pour la saison 80/81 V.A recrutera Gérard Bernardet, Jean-Pierre Orts, Nebojsa Zlataric, Michel Kaham et Bruno Zaremba et avec ces renforts Rabier et ses compères feront un honorable parcours en championnat où ils ne feront pas aussi bien que l'année précédente mais finiront tout de même à une moyenne onzième position avec seulement cinq points d'avance sur le 18ème qui devait jouer le barrage de relégation. Christian était un titulaire indiscutable et formait la paire avec Dominique Chevalier sur les côtés.
Pendant l'été 1981 Valenciennes s'affaiblira énormément en perdant de nombreux cadres tels que Dominique Vésir, Michel Maillard, Noureddine Kourichi, Dominique Chevalier, Bruno Zaremba et Gérard Bernardet entre autres et ces départs ne seront pas du tout remplacés qualitativement. Et ainsi la saison 81/82 sera très difficile car les joueurs se battront pendant toute l'année pour éviter la zone rouge du classement et arriveront à se donner une chance supplémentaire à garder leur place en D1 en réussissant à arracher la 18ème place synonyme de disputer un barrage de relégation. Cette rencontre de la survie se déroulera contre le vainqueur des barrages de D2, le FC Mulhouse, et là les valenciennois rateront complètement leur coup puisqu'ils s'inclineront 6-3 score cumulé ( après avoir perdu 5-2 à l'aller les nordistes ne feront pas mieux qu'un 1-1 au retour ce qui les enverra à l'étage inférieur ). Il faut notifier tout de même que V.A retrouvera un peu le sourire en coupe de France où ses joueurs atteindront les quarts de finale qu'ils perdront 3-1 score cumulé contre le tenant du titre, le SC Bastia ( après avoir gagné l'aller 1-0 les nordistes chuteront au retour en s'inclinant 3-0 ).
L'année 83/84, une ancienne gloire du club, un certain Daniel Leclercq vient finir sa carrière à VA. Mais malgré les Mustapha Merry et les Philippe Périlleux, Thierry Laurey, Jean-Marc Schaer et Dominique Corroyer, ils n'arriveront à faire accéder l'élite à leur club car ils ne termineront qu'à la cinquième position du championnat 83/84 à six points de la troisième et dernière place synonyme de pouvoir jouer le match de pré-barrages. « A Valenciennes, avec Philippe Périlleux (un autre Saint-Quentinois), Daniel Leclercq et moi-même, nous faisions tous près de 90 kg. On l'a labouré, le terrain. C'était un peu une bataille de tranchées mais on en a récupéré, des ballons »
Pour l'année 86/87 la direction caennaise fera un énorme effort dans son recrutement en engageant des joueurs expérimentés tels que Philippe Prieur, Slavoljub Muslin, Christian Pesin et Eric Pécout. Et ainsi grâce à l'efficacité du duo Prieur-Pécout et son invincibilité à domicile le SMC réalisera un exercice de haute qualité luttant pour la première place du groupe A avec Niort mais finalement il finira que second à sept points des Chamois. Et cette position finale vaudra à aux normands de se qualifier pour les barrages d'accession mais ils s'inclineront dès les pré-barrages face à l'AS Cannes sur le score de 2-1.
Avec les recrutements de Slavoljub Nikolic, Daniel Léopoldès, Ratko Dostanic et Hervé Florès le club du Calvados luttera toute la saison 87/88 avec Strasbourg pour la première place du groupe B mais échouera finalement à cause d'une plus mauvaise différence de buts ( +32 contre +34). Alors les caennais disputeront de nouveau les barrages d'accession mais cette fois-ci ils iront jusqu'au bout réussissant ainsi à accéder à l'élite française pour la première fois de l'histoire de Caen. Alors pour valider cet exploit les joueurs du SMC se débarrasseront successivement d'Alès (aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations), Lyon ( 3-2 score cumulé ( défaite 2-1 et victoire 2-0)) et du 18ème de D1,Niort ( 4-1 score cumulé ( 1-1 et victoire 3-0)). Christian ne sera pas de l'aventure en D1 car il n'a pas d'atomes crochus avec son entraîneur.et il a été écarté du groupe de D2 depuis le début de la saison, en compensation on lui a offert le brassard de capitaine de l'équipe de 3éme division. !!!
Entre la fac et les cours avec le Conservatoire national des arts et métiers durant sa période caennaise, Christian Pesin n'a jamais lâché ses études. Ce qui lui a permis, lorsqu'il s'est posé à Bressuire (Deux-Sèvres) comme entraîneur-joueur (en DH), de reprendre le fil et de finir son cursus à l'Université de Poitiers en 1988.
Professeur de gestion, il a été muté en Haute Savoien 1995, s'occupant ainsi d'Annecy-Le-Vieux, (Séniors 1, espoirs et 17 ans), d'Annecy (la réserve alors en D.H.R), et Meythet (3 saisons avec les Séniors 1).
En 2007 il s'occupe des moins de 18 ans du club de l'ES Cernex.
En 2012, il prend le poste d'entraîneur de la réserve de Rumilly (Promotion d'Excellence Haute-Savoie).
Il entraîne régulièrement des clubs de niveau ligue ou district en Haute Savoie.
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